mardi 25 novembre 2008

Elections américaines: Historique!

Mardi 4 novembre, Barack OBAMA, le candidat démocrate, a été élu président des Etats-Unis en obtenant 53% des voix. Voici le 44ème mais premier président noir à entrer dans l'histoire des Etats-Unis.

La famille OBAMA lors de la soirée des élections.
(de gauche à doite: Barack OBAMA, sa plus jeune fille Sacha, son autre fille Malia Ann, et sa femme Michelle OBAMA.)


Voici les résultats: http://www.lemonde.fr/web/vi/0,47-0@2-829254,54-1114408,0.html

Cette élection est notamment un évènement historique. Comparée aux précédentes qui obtenaient des résultats peu convaincants, on constate que l'interêt des américains a fortement augmenté. Selon une étude, deux tiers soit 64,1%, des électeurs ont participé cette année. Les minorités américaines (les noirs, les latinos) se sont senties plus concernées.
Heure de vérité, (vidéo):
Télézapping : le discours de Barack Obama
envoyé par lemondefr


Alors, quelle sera sa politique, et convaincra-t-elle? Sera-t-il a la hauteur des vonlontés américaines? A suivre...

vendredi 21 novembre 2008

Le collège et ses secrets...

Nous sommes allées, pour vous, interviewer Mme GLATH pour connaître ses secrets. En effet, qui est-elle?
Mme GLATH est principale de notre collège depuis l’année 2006/2007 et entame ainsi sa 3ème année.


Avant, elle dirigeait un collège à DIEMERINGEN (dans l'Alsace Bossue). Elle a aussi été proviseur adjointe au lycée professionnel GEILER à STRASBOURG.

Ses projets sont de davantage intégrer la SEGPA et l’UPI au collège. Une ouverture européenne est en cours de réalisation. Elle veut surtout mener tous les élèves du collège vers la réussite.

Elle se dit " chef d’orchestre " et fait en sorte " que ça sonne juste ", que tout le monde se respecte, que tous les élèves fassent leur travail, encadrés par l’équipe des professeurs.
Mme GLATH a compté pour nous le nombre d’employés au collège, il y en a environ 70.


Mathilde LUDWIG
Hélène WERNERT

Frissons égyptiens





La Malédiction de la momie de R.L. Stine
Edition : Chair de poule N'°1

et

La colère de la momie de R.L. Stine
Edition : Chair de poule N'°22









Ces livres plairont à tous les amateurs qui aiment l'Egypte et les momies. Ils sont riches en suspense et en action. De plus, lorsque je les ai lus, j'avais l'impression d'être présent dans l'histoire.


Malgré leur nombre de pages, ils sont très simples à lire, même pour les petits lecteurs.
Les trois personnages principaux sont : Gabriel, Sari sa cousine, ainsi que Ben son oncle.
Ces deux livres parlent des aventures de Gabriel, parti à la découverte des trésors des pyramides.


Dans le premier livre, La Malédiction de la momie, Gabriel part avec son oncle et sa cousine explorer une pyramide, dans laquelle ils se perdent. La peur au ventre, ils arpentent les couloirs à la recherche de la sortie mais des pas étranges se font entendre derrière eux. Que va t-il se passer ? Comment Gabriel et sa famille réussiront-ils à sortir de la pyramide? Y arriveront t-il ?


Et dans la La Colère de la momie, Gabriel, Sari et Ben explorent une nouvelle pyramide lorsque Gabriel tombe dans une creuvasse. Mais Sari et Ben ne s'en aperçoivent pas. Que va-t-il se passer ? Qui va le sortir de là ? Quels insectes se trouvent dans cette creuvasse ?
Les deux livres sont disponibles à la bibliothèque de Mundolsheim.


Lisez-les et faites-nous part de vos impressions !




Florian Marzolf 4ème 2

vendredi 7 novembre 2008

Un concentré de femmes dans un Zénith endiablé !

Du pop, du rock, du folk, et rien que des artistes féminines pour un Zénith complet !



Se tenait hier soir (le 23/10/08) Arte Rock in the City au Zénith de Strasbourg, un concert pas comme les autres auquel j’ai pu assister en passant par les coulisses. Petit récit de mon aventure un peu particulière…

Il est 18h20 quand j’arrive devant l’entrée des artistes grâce à mon précieux bracelet orange. Autour du bâtiment s’affairaient une armée de techniciens qui allaient et venaient entre le car régie et la scène. Et oui : la télé était présente, puisque c’est ARTE qui organisait ce concert, une émission en live sur la Chaîne franco-allemande : 180 techniciens,2300 m de câblage,700 repas, 300 nuits d’hôtel, 600 bouteilles d’eau,135 m2 d’écrans, 45 moteurs, 250m de pont, 5 semi remorques de matériel. Sans parler des mois de préparations pour réunir des artistes de qualités.
Dès mon arrivée à l’entrée du backstage, je tombai nez à nez sur
Micky Green : " J’y crois pas ! ". N’étant pas sure de l’info, je ne lui ai pas parlé.

Je déambulai ensuite dans les couloirs, toute excitée par l’ambiance qui y régnait à quelques heures du début du concert et passai devant des portes qui dissimulaient sûrement des artistes entrain de se préparer. Ma visite me menait devant le catering (cantine)où quelques techniciens buvaient un café ou discutaient avant de passer à l’action. Un peu plus loin, des machinistes revoyaient les changements d’instruments entre les chansons. De loin, j’entendais quelqu’un répéter son titre, entrecoupé par la voix du réalisateur qui donnaient quelques indications à travers les ordres, Je m’approchais et gravissais timidement les fameuses marches qui conduisent sur la scène (celles qui ont coûté une jambe cassée à Kad Merad au moment des Enfoirés)



J’étais soudain sur La Scène du Zénith de Strasbourg, une étendue vaste de quelques centaines de m2 où Sharleen Spiteri (même vos parents connaissent !) répétait le titre qui devait ouvrir le concert. Quelques réglages son pour les ingénieurs du son, les musiciens et la chanteuse, pas tout à fait satisfaite encore. J’étais à quelques mètres à peine. Tout à côté. Impressionnant, cette salle immense et vide… Qu’est ce que c’est bizarre ! Dehors, les spectateurs attendaient sans doute impatiemment. Les premiers étaient là depuis 16h. Les portes devaient ouvrir à 19h, or Sharleen répétait toujours. Je descendais dans la fosse pour me rendre compte de cette scène immense, aux jeux de lumières sophistiqués.



19h30 : ça y est, Sharleen est satisfaite et visiblement le réalisateur aussi. L’assistante réalisatrice donnait l’ordre à tout ce petit monde d’aller manger. A mon tour d’attendre, au pieds de la scène. Pas question de m’éloigner. Dans quelques minutes, les portes s’ouvriraient et le public se ruerait dans la salle. En attendant, je continuais à récolter des informations pour cet article et à prendre des interviews d’Olivier, un agent de sécurité, de caméramans ou de techniciens qui passaient par là, faisant des allers-retours, avant de faire leur pose. Je m’ installais contre les barrières de la fosse, prête à rester le temps qu’il fallait pour être à deux mètre –seulement !- des artistes, presque seule dans cette immense salle. Mais pas pour longtemps. On venait d’ouvrir les portes et les premiers spectateurs arrivaient en courant pour avoir la meilleure place. Plus que 2 heures avant le concert. En guise d’apéritif, pour nous faire patienter, un chauffeur de salle un peu bavard et directif nous essayait au compte à rebours du début du concert, et surtout de l’émission qui allait être diffusé en direct sur Arte.

Un peu lourd, le Monsieur, mais l’ambiance commençait à monter quand d’un seul coup, ce n’était plus du jeu, mais pour de vrai : 3,2,1 , générique, applaudissement de la foule en délire et Sharleen qui arrive sur scène pour ouvrir le concert.

Et s’enchaînaient The Kills (punk ; rock), Camille vêtue de sa cape orange et merveilleusement accompagnée de ses percussions vocales, que j’ai trouvé génial et original, la grande Ayo à son piano avec sa voix douce et envoûtante, Asa aussi ... Et suivait une certaine blonde, australienne, ça ne vous dit pas quelque chose ? Mais bien sur, c’est la superbe Micky Green ! Elle interpréta son tube, Oh !, que tout le public, empli de bonheur, chantait avec elle. puis elle empoigna sa guitare électrique Hello Kitty rose, super-fashion, pour nous interprèter une version remixée de cette chanson. Sans oublier un moment d’émotion avec Jane Birkin, d’abord en solo ( maman était émue), puis en duo avec Sharleen.



Vers 23h10, je quittais le Zénith, 10 minutes avant la fin du concert -de l’émission- : on était jeudi et le lendemain, il y avait les cours à … 8h !Je repassai par les coulisses où les artistes buvaient un verre en regardant la fin du concert sur le petit écran. L’ambience y était chaleureuse et détendue.
Au moment ou je griffonne les premières idées pour cet article, j’ai encore le bracelet orange autour du poignet, qui me rappelle une soirée d’enfer !

Merci à tous les artistes ! Et merci à Arte de m’avoir permis de vivre cette soirée différemment ! A quand le prochain concert d’Arte au Zénith ? Trop bonne idée !